quinta-feira, 28 de dezembro de 2006

Morreu Pierre Delanoë




Morreu ontem Pierre Delanoë, autor das letras de muitos sucessos da canção francesa.
Pierre Delanoë, pseudónimo de Pierre Leroyer, escreveu mais de 4000 letras para canções, entre as quais: para Gilbert Bécaud: Mes mains, Le jour où la pluie viendra, Nathalie, Je t'appartiens, Et maintenant, L'Orange, ou La Solitude, para Édith Piaf: La Goualante du pauvre Jean, Je Vois La Vie en Rose, para Tino Rossi: Deux amants, para Hugues Aufray: Le rossignol anglais, L'épervier, Les crayons de couleur, Stewball, para Michel Fugain: Je n'aurai pas le temps, Une belle histoire, para Nicoletta: Il est mort le soleil, para Nana Mouskouri: Que c'est bon la vie, Adieu Angelina, para Michel Polnareff: Le bal des Laze, para Gérard Lenorman: La Ballade des gens heureux, para Joe Dassin: L'Été indien, Champs-Elysées, Et si tu n'existais pas, para Nicole Rieu: Et bonjour à toi l'artiste, para Michel Sardou: Les Vieux Mariés, Le France, e também para Charles Aznavour, Claude François, Serge Reggiani, Dalida, entre muitos outros.



Et maintenant, que vais-je faire
De tout ce temps que sera ma vie

De tous ces gens qui m'indiffèrent
Maintenant que tu es partie

Toutes ces nuits, pourquoi, pour qui
Et ce matin qui revient pour rien

Ce coeur qui bat, pour qui, pourquoi
Qui bat trop fort, trop fort

Et maintenant, que vais-je faire
Vers quel néant glissera ma vie

Tu m'as laissé la terre entière
Mais la terre, sans toi c'est petit

Vous, mes amis, soyez gentils
Vous savez bien que l'on n'y peut rien

Même Paris crève d'ennui
Toutes ses rues me tuent

Et maintenant, que vais-je faire
Je vais en rire pour ne plus pleurer

Je vais brûler des nuits entières
Au matin, je te haïrai

Et puis un soir, dans mon miroir
Je verrai bien la fin du chemin

Pas une fleur et pas de pleurs
Au moment de l'adieu

Je n'ai vraiment plus rien à faire
Je n'ai vraiment plus rien...

Pierre Delanoë



Aqui, na excelente interpretação de Gilbert Bécaud:

1 comentário:

Anónimo disse...

Li a notícia no PÚBLICO. Impressionante como um nome desta importância pode passar despercebido de quase toda a gente. Eu mesmo tive de puxar um bocado pela cabeça para me recordar.